paru le samedi 9 janvier 2021
L’épuisement à enseigner dans l’inquiétude d’être contaminé.e, de porter la responsabilité de la propagation du virus et la fatigue de la classe du fait du masque notamment suffiraient déjà à manifester notre mécontentement ...
A la FSU, nous constatons que le ministre occupe le terrain médiatique "pas de souci, nous avons la situation en main" mais, en coulisse, opère un changement profond du système scolaire qui ne va pas dans le sens d’une amélioration. (...)
paru le mardi15 décembre 2020
Que vous soyez enseignant.e dans le 1er ou le 2nd degré, ce stage vous concerne : il s’agit de "connaître ses droits" pour pouvoir les défendre les utiliser voire les défendre.
groupe de travail CHS CT du 24 novembre 2020
paru le mardi 24 novembre 2020
Masques, tests et vaccins
La dotation en masques devrait d’après la Secrétaire Générale couvrir les besoins jusqu’au prochain approvisionnement. Le problème est que les enseignant.es en utilisent plus de 2 chaque jour, le travail ne se limitant pas à deux demi-journées en classe. Nous avons signalé que bien souvent, les fonctionnaires de l’état sont moins bien traités que ceux de la fonction publique territoriale qui disposent de masques FFP2. Le Conseil Départemental a (...)
paru le mercredi 26 mars 2014
Après un peu plus d’un an d’existence, les premiers résultats du travail des (...)
paru le mardi 4 janvier 2005
Le SNES est membre fondateur de la FSU et la section départementale du SNES participe (...)
paru le mardi 14 janvier 2014
Le SNUEP-FSU tient son congrès académique les 16 et 17 janvier 2014 au lycée Simone Veil à (...)
paru le jeudi 6 janvier 2005
site du SNUipp 58
site de la section départementale du Syndicat National Unitaire des (...)
paru le dimanche 1er novembre 2020 , par Webmestre FSU58
Hommage à Samuel PATY
Pour les enseignant.es du premier degré, le SNUIpp-FSU met des aides en ligne pour parler aux élèves
L’avis du SNES-FSU à propos du 2 novembre et de la désorganisation du fait du cafouillage du ministre.
Une décision indigne et autoritaire qui désorganise encore plus l’École
L’ensemble des organisations syndicales de l’Éducation avait demandé la banalisation de la matinée du lundi de la rentrée des vacances afin d’échanger en équipe pédagogique et de préparer ensemble l’hommage à notre collègue Samuel Paty. Le ministère avait concédé après de longues discussions une rentrée des élèves décalée à 10 h. Les directrices et directeurs des écoles, les chefs d’établissement, bien souvent en concertation avec les équipes, avaient organisé en cette fin de semaine la reprise de la classe en lien avec les collectivités locales.
Et juste avant le dernier week-end de vacances, le ministre, dans un mail aux enseignant·e·s dont le contenu avait fuité sur les réseaux sociaux via une députée de la majorité, annule ce temps d’échange entre les enseignant·e·s et met à mal les organisations trouvées. De manière quasi subliminale le ministre revient également sur les modalités de l’hommage ; tous les temps d’échanges prévus entre adultes sont annulés. Il reste seulement une minute de silence, pas nécessairement préparée avec les élèves et à mettre en œuvre seul·e dans sa classe. Cette décision est indigne.
La solution à l’impératif de sécurité publique invoqué du fait de la menace terroriste est pourtant simple, il aurait suffi de décaler la rentrée du lundi au mardi ce qui répondrait également à l’exigence de préparation de la rentrée avec un nouveau protocole sanitaire et la mise à l’abri des personnels vulnérables qui ne seront pas présents dans les classes lundi.
Ce mépris des personnels et cette décision autoritaire désorganisent encore davantage l’école alors qu’il faudrait au contraire de la sérénité et s’appuyer sur les personnels qui la tiennent à bouts de bras depuis mars dernier.
La FSU demande au ministre de garder le dispositif initial et d’en finir avec la cacophonie incessante de la rue de Grenelle. Elle appelle les enseignant·e·s à ne pas tenir compte de ce courrier et à rendre hommage à Samuel Paty selon les modalités qu’elles et ils auront arrêtées collectivement. Au cas où cette possibilité leur serait refusée, la FSU les appelle à user de leur droit de grève et se réunir dans les écoles et établissements.