paru le vendredi 13 avril 2018
Le « nouveau monde » d’Emmanuel Macron est en fait un pur projet libéral ou les préoccupations sociales, les valeurs d’égalité, de justice n’ont pas cours, ou l’argent est roi. La démocratie y est aussi fragilisée avec la marginalisation des organisations syndicales.
Il s’agit en fait d’un bien vieux monde loin d’un modèle social digne du XXIème siècle.
Parmi les si nombreux slogans de mai 68, il en est un qui disait « A bas le vieux monde ». En (...)
paru le jeudi 22 mars 2018
Chaque organisation syndicale devait traiter d’un thème lors des prises de parole devant la préfecture de Nevers. La FSU 58 a développé la question du statut :
Au nom d’un besoin de modernisation, Au nom de l’égalité entre les salariés privés et publics, Au nom de la souplesse, le gouvernement propose un certain nombre de mesures mettant à mal le statut des fonctionnaires.
Développer le recours aux contrats qui précarise et sape l’indépendance des (...)
paru le vendredi 13 avril 2018
Inscription à la journée de stage avant le 20/12 ...
paru le mardi14 novembre 2017
Comme nous le constatons souvent lors des rencontres avec les collègues, la question de " durer " dans le métier est souvent posée et surtout ... comment !
Le CTSD s’est réuni aujourd’hui pour examiner les créations et suppressions de postes dans les collèges du département, et le profilage de postes dans le premier degré.
Concernant les créations et suppressions de postes dans le second degré, le SNES-FSU était déjà intervenu lors du groupe de travail du lundi 12 mars, et par mel en amont du CTSD.
La DSDEN présentait une proposition de 12 suppressions de postes dont deux mesures de carte
Le SNES-FSU s’est engagé contre (...)
paru le mercredi 26 mars 2014
Après un peu plus d’un an d’existence, les premiers résultats du travail des (...)
paru le mardi 4 janvier 2005
Le SNES est membre fondateur de la FSU et la section départementale du SNES participe (...)
paru le mardi 14 janvier 2014
Le SNUEP-FSU tient son congrès académique les 16 et 17 janvier 2014 au lycée Simone Veil à (...)
paru le jeudi 6 janvier 2005
site du SNUipp 58
site de la section départementale du Syndicat National Unitaire des (...)
Nous n’en resterons pas la !
Prochaine étape à Nevers et à Cosne : le 16 octobreRetraites : ça ne passe pas !
paru le mardi 12 octobre 2010 , par Webmestre FSU58
Le gouvernement tente d’aller vite pour désamorcer une contestation qui ne cesse de s’amplifier. Avec un nouveau passage en force au Sénat en faisant voter le décalage des bornes d’âge, il a fait preuve de grand mépris et d’une nouvelle provocation face aux exigences portées par des millions de français.
Mais cette quatrième journée d’action, en un peu plus d’un mois, montre que, ensemble, salariés du public et du privé, mais aussi jeunes, chômeurs et retraités sont déterminés à ne pas laisser passer cette réforme.
La mobilisation reste toujours aussi forte et ancrée partout en France. 15000 personnes à Nevers et 2300 à Cosne, les manifestants sont de plus en plus nombreux et toutes les couches de la population sont présentes !
C’est le coeur même de la réforme qui est contestée. Car l’abandon des 60 ans ne garantit pas à terme le financement du système de retraite par répartition. Il pénaliserait tous les salariés et aggraverait le chômage notamment des jeunes. Par ailleurs cette mesure est contradictoire avec le sens de l’histoire sociale. Elle prend le risque de remettre en cause la tendance à l’allongement de l’espérance de vie.
Le gouvernement doit retirer son projet et prendre le temps nécessaire du débat de société qui n’a pas eu lieu. Il doit ouvrir de réelles négociations afin d’entendre nos propositions en terme d’emploi, de financement, de reconnaissance de la pénibilité au travail, de réduction des inégalités entre les hommes et les femmes, de prise en compte des années d’étude...
Il est encore possible de construire une réforme juste, solidaire et efficace à terme. Une réforme qui assure le système de retraite par répartition à l’ensemble des générations.
Le gouvernement accélère les procédures, alors accélérons la riposte !
Par son refus de prendre en compte les demandes exprimées par les grévistes et manifestants largement soutenus par la population, le gouvernement porte la responsabilité de la poursuite et de l’extension du mouvement. Rien n’est joué puisque la loi ne sera adoptée qu’à l’issue du vote final de l’assemblée nationale.